Fêtes liturgiques
Une année de grâces au Service Diocésain du Catéchuménat
Une année de grâces pour tous les néophytes et les recommençants arrive à sa fin.
Ils ont rencontré Jésus dans leur vie, à l’occasion d’un événement fort, ou par le témoignage de personnes rencontrées. Ils se sont mis en marche, depuis un, deux ou trois ans. Ils ont frappé à la porte de l’Eglise et celle-ci les a accueillis.
Dans leurs paroisses ils ont cheminé, avec leurs accompagnateurs. Des personnes déjà engagées, qui ont accepté de recevoir leurs questions et de chercher avec eux la réponse.
Dans les rencontres diocésaines ils ont fait la connaissance d’autres catéchumènes ainsi que de personnes qui avançaient aussi sur le chemin vers la confirmation. Ensemble ils ont appris à écouter la parole de Dieu, à prier, à remercier. Ils ont découvert les signes de la présence de Dieu dans leur vie. Ils ont pu réaliser qu’ils ne sont pas seuls.
Ils ont vécu les temps forts du catéchuménat : entrée en catéchuménat, appel décisif, scrutins. Jusqu’à ce samedi 8 avril, lors de la Vigile pascale, fête de la Résurrection. Devant l’Eglise ils ont proclamé leur foi au Christ Ressuscité et reçu l’eau du baptême. Désormais néophytes, nouvelles plantes, ils sont pleinement intégrés à la grande famille des chrétiens.
Le 27 mai à Buglose en présence des chrétiens de tout le diocèse, néophytes et recommençants ont été confirmés par Monseigneur SOUCHU, évêque d’Aire et Dax et Monseigneur Pierre MOLERES, évêque émérite de Bayonne.
Une fin de parcours ? En sommes-nous sûrs ?
Ils ont pris le départ sur un nouveau chemin, celui de la vie chrétienne. Le baptême, la confirmation, l’eucharistie les ont lancés sur la route vers le Père, par le Christ, dans l’Esprit Saint, en communion avec toute l’Eglise. Et nous savons combien les routes peuvent être tortueuses. A chacun maintenant de faire fructifier les dons de Dieu qu’il a reçu. A nous, chrétiens de plus longue date, de les accueillir dans nos paroisses, de nous laisser rejoindre par leurs questions et renouveler dans notre foi. A nous aussi de les encourager pour ne pas laisser flétrir les jeunes pousses. L’Esprit Saint nous y appelle !
